En juillet 2009 mon second fils, Basile, vient de naître et nous ne partirons pas en Roumanie.
Nous resterons dans la maison de la belle famille en Bretagne.
Je commence à photographier des personnes figées devant l’horizon.
J’étends ma série à différentes attitudes devant l’océan. Je suis persuadé que ce qui amène l’introspection devant l’immensité de l’océan, c’est ne pas voir ce qu’il y a derrière l’horizon.
L’océan ne serait-il pas l’allégorie de la mort, plat et sans fin. Face à la mer : face à la mort.