Mon amie journaliste Virginie Brancotte m’appelle pour me dire que le journal de Gien va être vendu à Centre France.
C’est l’un des derniers hebdomadaires indépendant, avec la rédaction au rez-de-chaussée et l’imprimerie au sous-sol.
C’est tout un monde du passé qui est encore vivant. On se rapproche des deux frères jatteau, pour leur proposer de faire un livre sur l’âme du journal avant sa vente et sa future évolution.